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Miki est une femme de ménage à la japonaise : elle se déplace à domicile et nettoie votre appartement en petite tenue. Recommandée par Saomi, je la convoque pour le studio que je loue pendant mes brefs séjours à Tokyo, dans le quartier de Minowa. Armée de son balai et d'une sacoche pleine de produits d'entretien, Miki débarque chez moi. Je régle les frais de l'agence qui l'envoie et m'installe sur un futon pour la mater. Elle se met à l'aise, culotte blanche de collégienne de rigueur et beaux seins ronds à l'air. La traque à la poussière commence : exhibition de ses fesses qu'elle cambre en tenant le manche du balai avec des mimiques coquines. Quand elle déniche une des nombreuses capotes usagées que j'ai semées dans l'appart', elle glousse, ravie de son butin. Par vice, j'ai poussé le chauffage à fond, et bientôt elle ne tarde pas à tranpirer. En trente minutes, la poussière est chassée, les rares bibelots astiqués. Elle s'accroupit alors devant moi et écarte les pans de mon yukata : à la vue de ma queue aussi raide que le manche du balai, elle rit avec ses dents de lapin. Pas farouche, elle sort une lingette humide parfumée au thé vert et entreprend de me la nettoyer. La finition manuelle, voilà la petite touche qui fait la différence. Avec les chèques emploi service de chez nous, pas sûr que les femmes de ménage soient aussi zélées.
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