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EXTRAIT : Quand Guenièvre appliqua le gant sur ses fesses, Marion éprouva une brûlure intolérable, encore plus cuisante que celles du fouet : ce n'était pas avec de la paille, mais avec des orties que l'intendante "bouchonnait", comme celle d'une jument, la croupe écarlate de la jeune fille où s'imprimaient les traces bleues des lanières de cuir. Les fesses en feu, Marion hurlait comme une folle, les orties se nichaient dans la raie de ses fesses, les brûlures, infernales, se propageaient vers son sexe ouvert.
"Et maintenant, le dessert ." gloussa Guenièvre.
Elle glissa le gant entre les cuisses de Marion et l'appliqua sur les lèvres ouvertes de la vulve et sur le clitoris. Après lui avoir longuement frictionné les muqueuses, elle enfonça les orties dans le vagin, les fit coulisser sadiquement entre les parois enflammées. Des aiguilles de feu se plantèrent dans la chair intime de Marion, irradiant tout son corps. Les traits convulsés par l'hystérie, elle eut l'impression de sombrer dans la folie... Or, le pire était encore à venir ! Avant de regagner sa chambre, il fallait qu'elle se "vide" ! Dès qu'elle commença, la brûlure de l'urine fut si atroce qu'elle perdit conscience...
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