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Découverte d'un petit livre de photos consacré à Mishima, quarante ans après sa disparition, dans une librairie Kinokuniya de Kanda, à Tokyo. Emotion de revoir sa gueule de voyou, et surtout de constater que le Japon ne l'a pas oublié, comme en témoignent les nombreuses publications sorties à l'occasion de cette célébration. LA MER DE LA FERTILITE, LE PAVILLON D'OR ( Je l'ai visité en compagnie d'une jeune fille de Kyoto qui ignorait tout du roman de Mishima ) m'ont amené au Japon, de même que les films où Mishima s'éclatait à jouer les yakuzas tatoués. Goldorak ou Mishima, j'ai choisi depuis longtemps. Maintenant en finir comme lui ou pas, face à des éditeurs français frileux, pour qui ma Bangkok Trilogy sent trop le souffre pour être publiée. (Idem pour ma trash love story entre un farang et un katoey, avec un personnage trop méchant, selon un directeur littéraire). C'est pas les Levy, Musso et Nothomb qui auraient la dignité de se crever le bide, sans compter tous les escrocs qui publient des livres dont ils ne font qu'assurer le service après-vente sur les plateaux télés sans avoir craché la moindre ligne.